sénart développement logotype
Blog Entreprise - Sénart

mercredi, août 31, 2005

Prospectives sur les métiers de demain…

Auteur Didier Galet @ 13:33 

Quels seront les besoins de la France en matière de métiers et de compétences ? Les observatoires de branche - impulsés par la loi du 4 mai 2004 sur la formation tout au long de la vie - peuvent apporter leur contribution à cette question essentielle.
Pourquoi et comment les branches peuvent-elles mettre en place un observatoire prospectif des métiers et des qualifications et une démarche prospective ? Quels seront le rôle et l’apport des observatoires de branches pour repérer les emplois et les métiers de demain ? Quelles actions pour accompagner les évolutions des métiers et prévenir les risques de rupture ?

Le commission général du Plan et les observatoires dressent les évolutions relatives aux :
 Métiers dont les compétences sont à renouveler et pour lesquels des tensions sont prévisibles.
 Métiers en transformation où il faudra se procurer des compétences nouvelles.
 Métiers en voie de disparition et susceptibles d’externalisation.
(en savoir plus)

 

mardi, août 30, 2005

Un nouveau dialogue social.....?!

Auteur Didier Galet @ 13:15 

Lundi 29 août, ouverture de l'université d'été de l'organisation patronale, Laurence Parisot a annoncé avoir "écrit vendredi" pour proposer une rencontre aux grandes centrales syndicales, qui préparent une journée d'action début octobre pour dénoncer notamment le contrat nouvelles embauches, mesure phare du "plan d'urgence pour l'emploi" du gouvernement, d'ailleurs saluée par le Medef. Le secrétaire général de la CFDT, François Chérèque, a répondu favorablement. Lors de cette rencontre, "la semaine prochaine", "nous allons dire que notre objectif est de rentrer dans une démarche constructive avec le patronat"…..
(en savoir plus)

 

lundi, août 29, 2005

Energie : la France va devoir consommer moins et autrement….

Auteur Didier Galet @ 13:06 

Face à un pétrole qui restera "durablement cher", le gouvernement veut accroître les économies d'énergie et accélérer les investissements dans des solutions alternatives. Le développement durable s'inscrit de plus en plus comme une philosophie politique !! (en savoir plus).

 

vendredi, août 26, 2005

Un milliard d'euros en 2005 pour l'agence de l'innovation industrielle

Auteur Didier Galet @ 14:50 

La nouvelle agence de l'innovation industrielle sera bien dotée au départ d'un milliard d'euros avant la fin de l'année, selon le décret de création présenté jeudi par le ministère de l'Economie. Cette agence doit aider les entreprises, par des avances remboursables, à financer des projets innovants tels que la voiture propre, les usines non polluantes en CO2 ou de nouveaux traitements médicaux.....

 

jeudi, août 25, 2005

Comprendre les nouvelles règles comptables !

Auteur Didier Galet @ 14:16 

Les nouvelles règles comptables françaises sur les actifs amortissables reprennent largement les principes des normes comptables internationales (IFRS).
Cette convergence se traduit par des modifications profondes pour les amortissements et l’introduction de la notion de composants.
La mise en place de ces changements, obligatoires pour l’ensemble des entreprises dès le 1er janvier 2005, s’avère fort complexe pour les chefs d’entreprise, particulièrement les petites et moyennes.
Le Medef édite un guide pratique, destiné principalement aux PME qui établissent elles-mêmes leurs comptes. Sa lecture est néanmoins importante pour les dirigeants qui confient cette tâche à des tiers (experts comptables, CGA...) : ces nouvelles règles comptables peuvent avoir en effet des incidences significatives sur les résultats de leur entreprise.
Ce guide, proposé gratuitement en ligne, a été conçu par GPA Croissance en collaboration avec la Compagnie nationale des Commissaires aux comptes et le Conseil supérieur de l’Ordre des experts comptables.
(en savoir plus)

 

mercredi, août 24, 2005

51 000, le mauvais total de l'exercice 2005 !

Auteur Didier Galet @ 08:21 

51 000, c’est le nombre d'entreprises françaises qui devraient mettre la clé sous la porte en 2005 !!
Soit le chiffre le plus élevé depuis 1998, selon une étude de l'assureur-crédit Euler-Sfac publiée mardi. Sur le premier semestre, le nombre de défaillances d'entreprises françaises a progressé de 5,1%, un niveau qui devrait se confirmer sur l'ensemble de l'année. Le ralentissement de la croissance économique a été fatal aux nombreuses toutes jeunes petites entreprises qui se sont créées en 2003 et 2004. L'Insee confirme cette tendance avec ses données : entre mars 2004 et mars 2005, le nombre de défaillances d'entreprises a progressé de 3,3%. Tous les secteurs d'activité sont touchés sauf l'immobilier et l'industrie.

Ce constat renforce notre volonté d’être plus présent auprès de ces entreprises, un travail qui sera mené collégialement au sein de la Maison de l’Emploi de Sénart Développement.

 

mardi, août 23, 2005

Quelques réflexions sur la reprise d'une activité

Auteur Didier Galet @ 14:22 

Questions à Marcel Duruy, directeur réseau Sud-Est OSEO BDPME et coordinateur de l’étude OSEO BDPME sur la transmission de 27 000 PME accompagnée entre 1997 et début 2004.

Qu’est-ce qui vous a frappé le plus dans cette enquête ?
Tout d’abord, les résultats dans leur ensemble sont dans la continuité des précédentes enquêtes. Toutefois, on peut y remarquer deux tendances émergentes. On constate un rajeunissement des repreneurs, dotés d’un apport personnel moindre. Ce qui conduit à des montages financiers un peu plus tendus qu’auparavant.
OSEO bdpme a donc accompagné des projets plus délicats. Mais n’oublions pas que la reprise d’entreprise, en général, est une opération risquée, certes moindre que pour une création, mais 21 % des entreprises tout de même, échouent avant 6 ans. Les PME restent fragiles tant que la dette “stérile” liée au financement de la reprise n’est pas remboursée.

Quelles sont les circonstances de la transmission ?
Le départ à la retraite de l’ancien dirigeant est le premier motif de transmission. Depuis la première étude, on observe un accroissement constant du nombre de cessions consécutives à l’arrivée de l’âge de la retraite pour le précédent dirigeant : 54 % de l’étude de 1993, 57 % en 1997 et 60 % des cas aujourd’hui. Pour l’instant, l’effet papy boom, dont on parle tant, est assez léger puisque 40 % des transmissions sont dues à d’autres facteurs (décès, maladie, changement d’activité, réalisation de plus-values).

On constate également que la période de post reprise est compliquée à gérer pour les repreneurs ?
C’est toujours un problème. La présence du cédant à côté du repreneur est un facteur clé de succès. Dans les entreprises de 10 salariés, le risque est deux fois moins élevé lorsque l’ancien dirigeant reste dans l’entreprise. En revanche, dans les plus petites entreprises, la présence du cédant est négative. Cela peut s’expliquer par les difficultés de cohabitation et les charges dues au salaire supplémentaire qui ne sont pas compensées par les bénéfices liés au maintien du cédant. Parmi, les repreneurs interrogés pour l’enquête, certains nous ont confié, qu’une fois aux commandes, ils n’avaient pas obtenu toutes les informations ou que le vendeur avait menti sur certains aspects. Si les garanties de passif existent pour éviter ces mauvaises surprises, elles restent difficiles à mettre en œuvre.
(en savoir plus)

 

lundi, août 22, 2005

Quel autre modèle social possible pour la France ?

Auteur Didier Galet @ 11:44 

Du Canada à la Finlande en passant par la Grande Bretagne, un voyage qui montre d’autres expériences que l’on peut analyser à l’aune d’un modèle national en crise et qu’il convient de renouveller….. la question reste ouverte....!
(invitation au voyage)

 

vendredi, août 19, 2005

Sénart et autres zones d'activité départementales !

Auteur Didier Galet @ 11:52 

Le mois d’août est propice aux balades et aux visites… c’est aussi l’occasion de prendre le temps pour une présentation des zones d’activité de notre département que je vous propose de découvrir sur ce site.
Bonne découverte.

 

jeudi, août 18, 2005

la nouvelle production : Internet !

Auteur Didier Galet @ 13:26 

Dans son best-seller publié au début de l'année aux Etats-Unis The World is Flat ("Le monde est plat"), le journaliste et écrivain Thomas Friedman prend la mesure de l'impact des technologies de l'information. Il annonce la troisième phase de l'économie monde.
La première, remonterait à la découverte de l'Amérique en 1492. Elle est marquée par l'expansion européenne et par la "mondialisation des Etats". La deuxième, de 1800 à 2000, se caractérise par la "mondialisation des entreprises", la naissance et l'apogée des multinationales. La troisième....
(en savoir plus)

 

mercredi, août 17, 2005

la facture énergie plombe le solde de la balance commerciale !

Auteur Didier Galet @ 13:02 

Le déficit du commerce extérieur français s'est creusé atteignant 1,194 milliard d'euros en juin, contre 1,148 milliard d'euros en mai selon le chiffre révisé. De ce fait, il atteint, au premier semestre 2005, le niveau record de 11,193 milliards d'euros, selon les données corrigées des variations saisonnières communiquées, mercredi 17 août, par les Douanes.
"Les exportations (...) devraient progresser dans les prochains mois, mais le déficit commercial est élevé. Ce paradoxe résulte d'une part de l'augmentation de nos importations en raison de l'envolée de la facture pétrolière et, d'autre part, d'une certaine atonie chez nos voisins, qui ne favorise pas les échanges", a déclaré Christine Lagarde, ministre déléguée au commerce extérieur.
Ce déséquilibre de la balance commerciale découle surtout de la facture énergétique. En effet, le déficit de la balance énergétique de la France pourrait dépasser les 40 milliards d'euros sur l'ensemble de l'année 2005, contre un déficit de 29 milliards en 2004, une hypothèse "basée sur les prix [de l'énergie] gelés sur le niveau de début août", a précisé le ministère des finances, mercredi, dans un communiqué. "L'alourdissement de la facture énergétique contribue pour près de moitié à la dégradation du solde commercial total de la France" depuis un an, a ajouté le ministère.
Au mois de juin, les exportations totales ont atteint 29,768 milliards d'euros (contre 30,610 en mai) et les importations se sont montées à 30,962 milliards d'euros (contre 31,758 le mois précédent), selon les Douanes.
en savoir plus

 

mardi, août 16, 2005

Thermogram' 2005 sur Sénart, la rencontre des spécialistes !!

Auteur Didier Galet @ 12:45 

THERMOGRAM'2005 : la rencontre de LA THERMOGRAPHIE INDUSTRIELLE ET INSTRUMENTALE sur Sénart, les jeudi 20 et vendredi 21 octobre 2005 à l'IUT de SENART

Les différents spécialistes du monde de l'entreprise, de la recherche et de l'université (développeurse et utilisateurs) échangeront sur, entre autres, :

Comment appréhender et maîtriser la situation de mesure ?
la mesure par thermographie, les Nouvelles technologies de caméras thermiques, la Maintenance et Prévention, le Contrôle de produits et de procédés, la Recherche appliquée, le Développement, la Qualité...
Qu'en est-il donc des nouvelles technologies de caméra à matrice de détecteurs ?
Comment se redessine le paysage thermographique français, dans un contexte où la la Qualification des opérateurs est elle devenue le label des prestataires de services et des organismes de contrôle ? ... en savoir plus


Les partenaires des Journées : AFIM, SFT, CNPP, SNECMA, SAN et EPA de SENART, avec AIR FRANCE, Transporteur Officiel

 

vendredi, août 12, 2005

Croissance et chômage…. Une spécificité française ?

Auteur Didier Galet @ 12:48 

La croissance économique est restée molle en France au deuxième trimestre 2005 et a moins progressé que celle de l'ensemble de la zone euro, ce qui a dissuadé les chefs d'entreprise d'embaucher…. Et le chômage reste toujours au dessus de 10%... (en savoir plus)

 

jeudi, août 11, 2005

De nouvelles dispositions régionales concernant les aides financières à l’export

Auteur Didier Galet @ 08:45 

Une nouvelle convention concernant les aides régionales AREX (Appui Régional à l’Exportation) vient d’entrer en vigueur pour une période d’essai d’un an. la CCI est instructrice de ce type de dossiers.

La principale nouvelle disposition concerne l’aide au recrutement à l’export : alors que, précédemment, cette aide à l’embauche à l’export consistait en une aide de trésorerie remboursable, elle est désormais octroyée sous forme de subvention.

Les aides financières concernant des études, des recherches de partenaires à l’étranger et des participations à des salons à l’étranger et certains salons en France à caractère international : dans ce même dispositif export, ces aides sont reconduites pendant la même période (voir modalités ci-après).

Entreprises éligibles aux aides AREX : Pour être éligible aux financements AREX, les entreprises candidates doivent être implantées en Île-de-France et satisfaire aux critères de taille, d’indépendance, d’existence et de bonne santé financière suivants :

1. Critères de taille et indépendance: Peuvent bénéficier d’un soutien régional, les entreprises franciliennes :- De moins de 250 personnes, en effectif consolidé ;- Avec un chiffre d’affaires annuel inférieur à 40 M€ ou un total de bilan annuel inférieur à 27 M€ ;- Non détenues à plus de 25 % par un groupe d’entreprises dont l’effectif consolidé est supérieur à 250 personnes. Les parts de capital détenues par des sociétés de capital-risque ou des investisseurs purement financiers ne sont pas prises en compte.
Pour l’AREX-Salons, sont exclues les entreprises de moins de 10 salariés, inscrites au Répertoire des Métiers ou faisant l’objet d’une double immatriculation au Répertoire des Métiers et au Registre du Commerce et des Sociétés.

2. Critères d’existence : Sont éligibles les entreprises :- Relevant du Registre du Commerce et des Sociétés en Île-de-France ;- Pouvant justifier d’au moins une liasse fiscale, pour « Conseil/Salons » ;- Pouvant justifier d’au moins trois années d’activité, pour « Emploi », sauf exceptions à valider en comité AREX.

3. Critères de bonne santé financière: Sont éligibles les entreprises :- Détenant des capitaux propres au moins équivalents au montant de l’aide sollicitée et étant à jour de leurs obligations fiscales et sociales.

Modalités d’interventions
AREX- Conseil : Appui à la réalisation d’un plan de stratégie export, d’une étude de marché, ou d’une recherche de partenaires européens grâce à un conseil extérieur, limité à 50 % du coût HT de la prestation (honoraires) et plafonné à 15 000 € (plafond de 15 000 €, sur deux ans et par entreprise pour les études de marché et les recherches de partenaires européens).
AREX- Emploi : Appui, lors de la première année, à la création, au renforcement d’un service export ou à l’ouverture d’une filiale par le recrutement d’un cadre spécialisé et, le cas échéant, son assistant(e) sous forme d’une subvention. Elle est calculée sur la base de 50 % du salaire brut fixe et des charges patronales pour la première année et plafonnée à 35 000 €. L’entreprise peut présenter une seconde demande d’aide AREX - Emploi trois ans minimum après le versement de la deuxième tranche et à condition qu’elle ait conservé, au moment de sa nouvelle demande, le premier poste financé par l’AREX (cette règle s’applique également pour les entreprises qui ont bénéficié de l’aide AREX - Emploi sous forme d’aide de trésorerie remboursable).
AREX- Salons* Salons à l’étranger : Aide financière ne pouvant excéder 50 % de la valeur HT des dépenses éligibles, avec un plafond de 4 000 € par salon.

Versements des aides
AREX- Emploi : La subvention sera versée à l'entreprise, en deux fois. Le premier versement, de 50 %, 6 mois après l’entrée en fonction du salarié au vu des pièces suivantes :- Le contrat de travail, à temps plein et à durée indéterminée, signé par les deux parties, - Les 6 bulletins de salaire correspondants, et après validation de ces pièces par le Conseil Régional Île-de-France.Le solde, 12 mois après la création du poste, sur présentation des six bulletins de salaires suivants, également validés par la Région, et sur justificatifs du maintien des activités de l’entreprise et du poste aidé en Île-de-France. En cas de départ de l’entreprise hors Île-de-France, le remboursement de la première tranche deviendra immédiatement exigible.

AREX- Conseil : Le plan de stratégie/l’étude de marché doivent répondre à des exigences minimales, fixées dans un cahier des charges élaboré par le comité consultatif précité. La subvention est versée, en une seule fois, au vu du rapport du consultant, après vérification de la conformité au devis accepté et des factures acquittées par l’entreprise et validation finale de la Région.
AREX- Salons : Le versement de l’aide intervient en une seule fois, sur présentation des factures dûment acquittées et d’un questionnaire d’évaluation des résultats obtenus, après accord de la Région. Seules les factures directes, établies au nom des entreprises bénéficiaires et payées par elles, pourront être retenues dans le calcul de la subvention.Les entreprises aidées devront apposer, sur leur stand, à la vue du public et, pendant toute la durée du salon, un logo spécifique, remis par la Région Île-de-France. En cas de contrôle par la Région, le non-respect de cette obligation entraînera l’annulation de la décision octroyant l’aide et, par conséquent, le non- versement de la subvention.

Des aides départementales : En alternative à ces aides régionales, un dispositif d’aides départementales (Fond Départemental Export) peut également aider les entreprises seine-et-marnaises qui souhaitent participer pour la première fois à un salon à l’étranger ou faire réaliser une étude à l’export.

 

Formalité entreprise : éclairage sur l'avis d'insertion !

Auteur Didier Galet @ 08:36 

Avis d’insertion est à faire paraître lors de la constitution d’une SARL
Les sociétés doivent produire, à l’appui de leur demande d’immatriculation au Registre du Commerce et des Sociétés (RCS), un avis d’insertion dans un journal d’annonces légales dépendant du lieu du siège social de l’entreprise.
En ce qui concerne les SARL, l’avis d’insertion doit contenir les mentions suivantes :
La dénomination sociale suivie, le cas échéant, de son sigle ;
La forme de la société ;
Le montant du capital social (s’il s’agit d’une SARL à capital variable, l’avis doit en faire mention) ;
L’adresse du siège social ;
L’objet social, indiqué sommairement ;
La durée pour laquelle la société a été constituée ;
Les nom, prénom et domicile du ou des gérants ;
L’indication du Greffe du Tribunal de Commerce où la société sera immatriculée au RCS ;

A savoir : le tarif des insertions légales est fixé, pour l'année, par arrêté préfectoral.
Pour la Seine-et-Marne, voici la liste des journaux habilités à recevoir des annonces légales sur l’ensemble du département :
LE PARISIEN, édition de Seine-et-Marne (quotidien) : 16, Boulevard Chamblain - 77000 MELUN (tél. : 01.64.41.47.27) et 53, Rue de la Crèche - 77102 MEAUX cédex (tél. : 01.64.34.95.40 - fax : 01.64.34.95.19)
LE PAYS BRIARD (bi-hebdomadaire) : 18, Rue Abel Prouharam - 77120 COULOMMIERS (tél. : 01.64.75.38.00 - fax : 01.64.65.12.48)
LA REPUBLIQUE DE SEINE-ET-MARNE (hebdomadaire) : 3, Boulevard Victor Hugo - BP 22 - 77001 MELUN cédex (tél. : 01.64.87.50.00)
HORIZONS Centre Île-de-France (hebdomadaire) : 418, Rue Aristide Briand - 77350 LE MEE-SUR-SEINE (tél. : 01.64.79.30.58 - fax : 01.64.39.62.52)
LE MONITEUR DE SEINE-ET-MARNE (hebdo) : 6, Rue Carnot - 77000 MELUN (tél. : 01.64.37.05.64 - fax : 01.64.37.42.63)
LA MARNE (hebdomadaire) : 34, Rue du Grand Cerf - 77102 MEAUX cédex (tél. : 01.64.34.07.50 / 01.64.34.63.72 - fax :01.60.09.40.01)
LE MONITEUR DES TRAVAUX PUBLICS ET DU BATIMENT (hebdomadaire) : 17, Rue d'Uzès - 75108 PARIS cédex 02 (tél. : 01.40.13.30.30 - fax : 01.40.41.94.95)

 

mardi, août 09, 2005

Vers un statut du télétravailleur ?

Auteur Didier Galet @ 14:17 

Un million et demi de salariés nomades travaillent à distance en France. Ils bénéficieront d’un statut de salarié à part entière. Le Mouvement des Entreprises de France (Medef) et les organisations syndicales ont abouti, mardi 19 juillet, à un projet d’accord donnant aux salariés exerçant leur profession en télétravail des droits identiques aux autres salariés. Une loi pourrait bientôt encadrer cette population de télétravailleurs portés par les technologies de l’information et de la communication (TIC). ... en savoir plus !

 

lundi, août 08, 2005

Evaluer les politiques... un point de vue !

Auteur Didier Galet @ 11:33 

" L'évaluation de l'impact des lois, des réglementations et des politiques publiques sur la vie économique, sociale et culturelle gagne dans les textes. C'est heureux ! Elle change aussi de forme : au-delà d'un calcul technocratique des coûts et des « bénéfices » immédiats, on y met plus de procédure et de possibilité de débat, c'est-à-dire de gouvernance participative potentielle. On compte sur plus d'intelligence politique et citoyenne au service du développement durable" . (lire la suite)


Point de vue par MAURICE BASLE, professeur d'économie à l'université de Rennes 1 et membre du comité directeur de European Evaluation Society.

 

vendredi, août 05, 2005

Entreprises en difficulté : le nouvel arsenal

Auteur Didier Galet @ 13:12 

Les députés et les sénateurs se sont mis d'accord vendredi sur ce texte qui réforme en profondeur le droit des faillites et introduit la procédure de sauvegarde. L'objectif est de mieux prévenir les difficultés des entreprises.
Le projet, adopté en commission mixte paritaire, sera présenté après-demain pour un vote solennel par les deux assemblées. Avec ce texte, le droit français des procédures collectives (les anciennes faillites) s'offre un sérieux coup de jeune. L'objectif affiché du gouvernement est de mieux prévenir les difficultés des entreprises pour sauver des emplois. A l'heure actuelle, du fait du déclenchement tardif de l'ouverture des procédures, 9 entreprises sur 10 sont liquidées. Et le phénomène ne se calme pas. Après une hausse de 1,5 % en 2004, avec 48.664 cas, le nombre de défaillances pourrait encore s'accroître en France en 2005 et dépasser les 51.000 cas.Pour persuader les entreprises de franchir les portes du tribunal de commerce avant qu'il ne soit trop tard, le texte utilise deux méthodes : la mise en place d'un mécanisme de sauvegarde avant la date fatidique de la cessation des paiements et la promesse d'engagement des créanciers - particulièrement les banques - de s'asseoir autour d'une table pour négocier avec leur débiteur un rééchelonnement de leurs dettes. La palette des instruments devrait s'adapter à la taille des entreprises. Ainsi, si la procédure de sauvegarde n'est qu'optionnelle pour les petites entreprises, elle s'impose aux grandes (le seuil sera fixé par décret autour de 250 salariés). Sa cible est donc plutôt la grosse PME industrielle avec un lourd passif fournisseurs, qui bien souvent n'avait aujourd'hui d'autre issue que le plan de cession. Le texte aura cependant besoin d'une sérieuse période de rodage. « Avec ces nouvelles procédures, le chef d'entreprise va disposer d'une boîte à outils beaucoup plus importante, même si cela va devenir plus compliqué de choisir les bonnes procédures », reconnaît Nicolas de Germay, président de l'ARE (l'Association pour le retournement des entreprises). Il pourrait aussi donner lieu à des contentieux plus nombreux, notamment sur la définition de l'ouverture de la période de sauvegarde, très incertaine - la procédure est ouverte au chef d'entreprise qui éprouve des difficultés « qu'il n'est pas en mesure de surmonter et qui sont susceptibles de conduire à la cessation des paiements ».

Mise au diapason européen
Mais, pour de nombreux experts, le texte a aussi un avantage supplémentaire : celui de « donner une vraie lisibilité au régime français et de l'inscrire dans un mouvement international ». L'exemple de la faillite de Rover, ouverte en Angleterre, vient de jeter un éclairage nouveau sur ce phénomène de « délocalisation » des procédures collectives en Europe. De fait, un règlement européen passé relativement inaperçu en France, qui met en place la reconnaissance mutuelle des procédures de faillite, perturbe sérieusement le jeu. La plupart des pays européens ont, aujourd'hui, une procédure qui s'apparente à la procédure de sauvegarde. Il fallait donc, pour le gouvernement, aller vite.
En savoir plus

 

jeudi, août 04, 2005

Euro... entreprises... croissance, 2005 sera plus que mitigée

Auteur Didier Galet @ 15:09 

La croissance de la zone euro sera moins forte que prévu cette année et en 2006 selon le Fonds monétaire international (FMI), qui lance un appel pressant à la poursuite des réformes des marchés de l'emploi et des systèmes de retraite pour faire redémarrer l'économie des 12. La croissance restera anémique en 2005 avec une progression prévue de seulement 1,3 % du produit intérieur brut (PIB) et elle devrait atteindre 1,9 % l'année prochaine, selon le rapport annuel du Fonds sur la zone euro.
En savoir plus...

 

Le dispositif en faveur des PME s'enrichit!!

Auteur Didier Galet @ 13:44 

la loi en faveur des petites et moyennes entreprises du 2 août 2005, défendue par Renaud Dutreil, a pour principaux objectifs :

- assurer la pérennité des entreprises nouvellement créées et des entreprises existantes ;
- améliorer les conditions de leur transmission afin de préserver les savoir-faire et l'emploi
- soutenir la croissance des petites et moyennes entreprises.

Des objectifs que l'on ne peut qu'approuver à condition de trouver les moyens des ambitions des uns et des autres.

 

mercredi, août 03, 2005

Qu'est ce qui motive vos salariés ?

Auteur Didier Galet @ 13:47 

Les DRH de neuf pays (1) ont été interrogés sur les motivations des salariés et sur les avantages offerts par leurs entreprises auxquels ils sont plus particulièrement attachés.

La rémunération n’est pas le premier facteur de motivation des salariés. C’est ce qui ressort d’une enquête réalisée par Accountemps Interim auprès de 1 400 directeurs des ressources humaines et des directeurs financiers dans neuf pays (1). « Ceux-ci ont répondu en fonction de leur pratique des entretiens d’embauche et des entretiens annuels d’évaluation de leurs collaborateurs. Quand un salarié discute de ses conditions de travail, il ne parle pas que d’argent », explique Fabrice Coudray, responsable régional chez Accountemps Interim.

Pour 40 % d’entre eux, c’est avant tout le manque d’opportunités d’évolution en interne qui incite un salarié à vouloir changer d’emploi. Sentiment particulièrement marqué en France (52 %) et partagé chez nos voisins : 35 % en Allemagne, 36 % en Grande-Bretagne et en Belgique, 40 % en Irlande, 45 % aux Pays-Bas. La rémunération insuffisante n’arrive qu’en deuxième position (17 %), suivie par le manque d’adhésion à la culture de l’entreprise (16 %).
« D’ailleurs, poursuit Fabrice Coudray, pour le candidat au recrutement, le niveau du salaire fixe n’est plus au premier rang des priorités. Dans une conjoncture difficile, le salarié prend un risque à demander un fixe élevé. Il demandera plutôt à bénéficier de bonus. Et, pour faire la différence, on augmente le variable. Le cadre de travail, le respect de l’individu, les valeurs de l’entreprise, l’intérêt pour le produit, la qualité de la communication seront incitatifs. A contrario, certaines entreprises, en situation économique défavorable, choisiront de créer une ambiance délétère pour inciter les salariés au départ. »
Quant à savoir quels avantages les salariés aimeraient avoir s’ils avaient le choix, les avis divergent d’un pays à l’autre, Les salariés belges sont très attachés à la voiture de fonction (57 %), les Néerlandais apprécient le télétravail (30 %) et les Allemands, la retraite complémentaire (31 %). Les Français préfèrent recevoir des primes (33 %) et avoir une retraite complémentaire (23 %), ainsi que les salariés irlandais et britanniques.

Il n’en demeure pas moins que, pour tous, parler de son salaire et le négocier est une affaire individuelle. La plupart des salariés préfèrent consulter les études de rémunération publiées chaque année dans la presse plutôt que comparer leur salaire avec leurs homologues. Globalement, 52 % des salariés (62 % chez les Français) ne prennent aucun conseil auprès de proches ni même de professionnels avant de demander une augmentation. Exception faite à leur conjoint, dans de rares cas (12 % en France).

En tout cas cette enquête apporte un éclairage intéressant sur la relation salarié – employeur – entreprise, un trio qui est au centre des prochaines actions de Sénart Développement !

(1) Allemagne, Australie, Belgique, France, Grande-Bretagne, Irlande, Nouvelle-Zélande, Pays-Bas et République tchèque

 

mardi, août 02, 2005

Pôles mondial et national, les deux prochains défis de la Seine et Marne

Auteur Didier Galet @ 09:00 

Le CIADT (Comité Interministériel d’Aménagement du Territoire) du 12 juillet 2005 a labellisé 67 pôles de compétitivité sur le territoire national.
Parmi ceux-ci, 15 pôles ont reçu le label “pôle de compétitivité à vocation mondiale” (dont “Vie Numérique et Multimédia” auquel participe la Seine-et-Marne) et 52, le label “pôle de compétitivité à vocation nationale” (dont “Ville et Mobilité Durables” initié par le Polytechnicum de Marne la Vallée et le Département via son agence économique).

La constitution du pôle a donné lieu à de nombreuses séances de travail durant plusieurs mois, avec l’ensemble des acteurs du pôle qu'il s'agisse des structures de formation….. (en savoir plus...).

 

lundi, août 01, 2005

Projets de création et de reprise d'entreprises sur Sénart

Auteur Didier Galet @ 15:08 

Nos amis de la Boutique de Gestion nous font parvenir les résultats du deuxième trimestre 2005 concernant les projets de création / reprise d’entreprises sur Sénart.

22 personnes ont été rencontrées (16 H / 6 F) dont 21 en situation de demandeurs d’emplois.

Quelques caractéristiques sur la typologie des porteurs de projet :

6 ont au moins le niveau BAC et 13 sont du niveau CAP – BEP
16 ont un cursus d’employés pour 2 cadres

Les secteurs d’activité des projets en question :

services aux particuliers (4)
éducation, santé, formation (1)
commerce (6)
transport (2)
services aux entreprises (2)
fabrication, transformation (1)
projets à préciser (6

 

Lecture de vacances !!

Auteur Didier Galet @ 13:07 

les vacances... c'est fini et nous reprenons nos bonnes habitudes du blog quotidien (si possible).
Je vous propose, pour une reprise en douceur, un condensé d'informations économiques des deux semaines écoulées (merci l'Expansion!).
Pour ceux qui ont repris le travail, BON COURAGE, pour les aoûtiens, BONNES VACANCES !

L'UE facilite les aides aux services publics locaux

La solidarité n'est plus limitée à la Pentecôte

Copé esquisse la réforme de la taxe professionnelle

Déchets électroniques : l'heure du grand recyclage a sonné
A partir du 13 août, les fabricants et distributeurs de produits électriques et électroniques seront tenus de collecter et de recycler ces déchets hautement toxiques. Fini les ordinateurs sur le bord du trottoir. Reste que les acteurs sont loin d'être prêts et que le coût sera élevé.

L'Etat transfère 60% des routes nationales aux départements
Après les autoroutes bientôt presque totalement privatisées, l'Etat se désengage des routes nationales. Il conservera la gestion des axes stratégiques. Les routes ne pourront être soumises à péage.

De Villepin réveille le « patriotisme économique
Soixante jours après son arrivée à Matignon, Dominique de Villepin a dressé un nouveau bilan de l'action gouvernementale. Si l'emploi reste le cap prioritaire, le Premier ministre veut mieux protéger les entreprises françaises des attaques extérieures.

Juillet mitigé pour le tourisme français

TNT taille dans sa logistique en France