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Blog Entreprise - Sénart

mercredi, juillet 13, 2005

Bonnes vacances

Auteur Didier Galet @ 08:50 

ça y est, notre tour est venu de prendre des vacances bien méritées. Le blog reprendra dés notre retour, début août.
En attendant, bon courage à ceux qui restent et bonnes vacances aux autres !!

 

La fonction publique représente un salarié sur cinq!

Auteur Didier Galet @ 08:48 

Les trois fonctions publiques - d'Etat, territoriale et hospitalière - employaient au 31 décembre 2003, 5 millions de personnes, hors emplois aidés. Soit un salarié sur cinq, selon un rapport présenté mardi en Conseil supérieur de la Fonction publique d'Etat (FPE). "Entre 1982 et 2003, l'emploi public a augmenté de 24%" alors que dans le même temps, l'emploi total a augmenté de 13%.
La Fonction publique territoriale (FPT) avec une croissance de 42%, absorbant à elle seule, 47% des emplois publics créés sur cette période, souligne le rapport. Dans le même temps, les effectifs de la fonction publique hospitalière (FPH) ont progressé de 28% et ceux de la Fonction publique d'Etat de 14%. Les emplois aidés (CES, CEC, emplois jeunes) représentaient fin 2003, 232.600 personnes.
Au delà, le rapport permet de préciser le portrait des fonctionnaires: 81% des agents sont titulaires ou militaires (4 millions de personnes), 15% sont non titulaires (768.000 personnes), le restant des effectifs, soit 4%, étant constitué d'ouvriers d'Etat (56.000 personnes), de médecins des hôpitaux publics (94.000 personnes) et d'assistantes maternelles des collectivités territoriales (55.000 personnes). Les femmes - 59% des emplois - sont largement majoritaires de même que les agents de la catégorie C (la plus basse) - 49% des emplois -, suivis par les agents de la catégorie B qui représentent environ le quart des effectifs totaux et même 37% des agents de la Fonction publique hospitalière.

 

mardi, juillet 12, 2005

Un pôle de compétitivité national pour la Seine et Marne!!

Auteur Didier Galet @ 13:56 

«Au total, 67 pôles ont été retenu », a-t-on indiqué, lundi 11 juillet, dans l'entourage de Dominique de Villepin à la veille d'un Comité interministériel d'aménagement et de développement du territoire (Ciadt) très attendu sur ce sujet à l'hôtel Matignon. "Le premier ministre a décidé de porter l'effort public à 1,5 milliard d'euros sur trois ans – 2006, 2007, 2008. Il s'agit d'un effort très significatif dans un contexte budgétaire", a-t-on ajouté de même source. La liste des pôles retenus ne sera rendue publique que mardi matin à l'issue du Ciadt.
Ces pôles, associant entreprises, centres de formation et unités de recherche dans un esprit de synergie, visent à lutter contre les délocalisations et à accroître la compétitivité de la France dans certains domaines en créant de nouveaux produits.
Ils bénéficieront d'exonérations fiscales et sociales (300 millions d'euros), de crédits des ministères (400 millions) et de financements des agences publiques de recherche et d'innovation (700 millions) reposant sur des "fonds de privatisation".
Le principe des pôles a été avancé par le gouvernement Raffarin en septembre 2004. L'appel à projets – de décembre à février – a été dépassé par son succès, et le gouvernement en a finalement reçu 105, venant de toutes les régions et concernant tous les secteurs de l'économie (agroalimentaire, biotechnologies, multimédia, transports, textile...).

Initialement, le nombre de pôles créés devait être de "dix à vingt", selon une source gouvernementale. Le ministre de l'intérieur, Nicolas Sarkozy, qui en souhaitait beaucoup plus, s'opposait toutefois sur ce dossier à Bercy. "M. de Villepin a fait une synthèse entre deux approches, celle de l'aménagement du territoire et celle de la compétitivité dans l'innovation et la recherche (...) Il s'agit d'une refondation de notre politique industrielle", a-t-on commenté dans son entourage. Matignon réfute toute idée de "saupoudrage", sur le thème "tout le monde doit être servi"."Cela aurait été du saupoudrage si on n'avait pas augmenté l'enveloppe financière", estime-t-on.

Les 67 pôles auront tous le même "statut juridique", mais les aides qu'ils recevront seront proportionnelles à leur taille, notamment à leurs effectifs en chercheurs, qui seuls bénéficieront d'exonérations sociales. Certains pôles compteront une dizaine de milliers de chercheurs, d'autres 5 000 à 6 000 ou moins.
Sur ces 67 pôles, 15 d'entre eux, à forte "visibilité internationale" – ils sont impliqués notamment dans des appels d'offres internationaux – disposeront d'un "soutien particulier des agences" (Oséo, Agence pour l'innnovation industrielle, Agence nationale de la recherche...), selon Matignon.
Face à la "qualité" des candidatures, le gouvernement a donc allongé la liste des heureux élus et renoncé à créer un autre label, sorte de lot de consolation, qui était parfois évoqué pour ceux qui n'auraient pas été choisis.
Un deuxième Ciadt sera organisé si certains candidats éconduits persistent dans leur projet, a-t-on précisé. "Ces dossiers, toutefois, ne pourront être retenus que s'il y a des regroupements de projets", a-t-on bien spécifié.
Dans la foulée du Ciadt, dix-sept ministres se rendront dans des sites retenus, a-t-on indiqué à Matignon. M. Sarkozy ira au Génopole d'Evry (Essonne) et le ministre délégué à l'industrie, François Loos, à la présentation du "Lyonbiopôle", selon leurs agendas respectifs
(art Le Monde 12/07)

 

vendredi, juillet 08, 2005

Images de l'Europe... images de France !

Auteur Didier Galet @ 10:39 

Mme Gaymard, vous êtes la Présidente de l'Agence française pour les investissements internationaux, pensez-vous que les difficultés actuelles de l'Europe aient un impact sur les investissements, notamment américains ?
Non. Ce que les Américains voient, ce sont les avancées. Ils ne croyaient ni à l'euro ni à l'élargissement et ont constaté qu'ils avaient tort. Le non aux référendums français et néerlandais ne les trouble pas car il est politique. Or, ce qui les intéresse, c'est l'économie. Les hommes d'affaires américains ont compris que le non était une forme de liberté des électeurs par rapport à l'Europe.

Quels sont aujourd'hui les atouts de l'Europe ?
C'est assez simple : la Chine et l'Inde, c'est sans doute l'avenir mais, aujourd'hui, le premier marché mondial, c'est l'Europe. C'est là qu'on gagne de l'argent. De plus, les différents pays ont chacun leurs spécificités et leurs pôles d'excellence. L'Europe offre la diversité dont les entreprises ont besoin.
Autre argument : la qualité de la main-d'oeuvre à l'Ouest et surtout en France. Notre pays a une mauvaise image sociale mais la bonne productivité française est reconnue aux Etats-Unis comme une qualité que nous avons et qu'eux non pas : ils apprécient notre capacité à "chasser le gaspi", eux qui, chez eux, ont une culture de l'opulence.
Néanmoins, je constate une cristallisation sur les défauts de l'Europe en général et de la France en particulier. Les Américains ne comprennent pas pourquoi nous ne libéralisons pas, par exemple, le marché du travail. Investir est un risque. Ils veulent pouvoir se désengager ou modifier rapidement leur investissement. Ils trouvent parfois qu'en France le risque est trop élevé.

Quelles leçons tirer des succès américains ?
Il y a leur capacité à rebondir après un échec et son corollaire : l'optimisme. Certes, cela permet parfois d'éviter de se poser des questions et de se remettre en cause mais cet optimisme incite les Américains à entreprendre.
En France comme au Japon, notre état d'esprit critique nous pousse à rechercher l'excellence mais, du coup, nous sommes souvent timorés. Les Etats-Unis nous apprennent que rien n'est inéluctable.
Il y a quinze ans, le Canada n'avait aucune industrie cinématographique. Aujourd'hui, un tiers des films américains y sont tournés et cette industrie est florissante.

Reprise de l’interview réalisée par le Monde (édition du 8/7)

 

jeudi, juillet 07, 2005

Ville et Mobilité Durables, un pôle de compétitivité en Seine et Marne

Auteur Didier Galet @ 10:13 

Dans le cadre de l’appel à projet sur les pôles de compétitivité, nous avons assisté, le 30 juin dernier à la présentation du projet défendu par le conseil général pour le département « Ville et Mobilité Durables ».
La décision finale sera rendue le 12 juillet prochain et, même s’il est difficile aujourd’hui de spéculer sur les chances du dossier seine et marnais (surtout parce que l’on ne connaît pas le nombre de projets qui seront retenus) le dynamisme initié ne devrait pas retomber, quelque soit le résultat.
En effet, les trois thématiques retenues sont passionnantes et s’inscrivent pleinement dans la volonté exprimée aujourd’hui par les différents acteurs, dont les entreprises, de travailler dans une logique de développement durable.

1- Habitat et construction
On y parle de constructions à hautes performances énergétiques et de matériaux composites…

2- La ville
Du chantier furtif (travaux urbains discrets et minorant les pollutions diverses) à la gestion des risques en génie civil et en passant par l’aménagement virtuel (évaluer les impacts de projets d’urbanisme), la réflexion est très à la pointe…

3- La mobilité
Les réflexions s’articulent autour de l’information multimodale et de l’optimisation de l’usage de l’infrastructure mais s’intéressent aussi au handicap et à l’amélioration des déplacements dans les transports publics.

Nous vous informerons régulièrement de l’avancée de ce projet dont le rayonnement profitera aussi à Sénart.

 

mardi, juillet 05, 2005

Des chefs d'entreprise qui investissent dans... les chefs d'entreprise !

Auteur Didier Galet @ 09:41 

Les "business angels" français investissent chacun en moyenne 70.000 euros par projet d'entreprise, selon une étude de l'association France Angels réalisée en janvier 2004 auprès de 116 personnes.
Cette somme recouvre une palette de montants très large : 31% dépensent en moyenne moins de 25.000 euros par investissement, et 25% plus de 100.000 euros. Ces investissements, qui interviennent au tout début de la vie d'une entreprise, sont faits à 28% dans des sociétés Internet, à 23% dans les services, 20% dans les télécommunications, 13% dans l'industrie et 12% dans les sciences de la vie.
Agé de 35 à 65 ans, quasiment toujours un homme, le "business angel" est dans 78% des cas un ancien dirigeant d'entreprise qui est prêt à consacrer au moins une journée par semaine à conseiller l'entrepreneur auquel il a fait confiance.
Ses deux motivations essentielles: la recherche de plus-values, pour 34,5% des personnes interrogées, et "la participation à une aventure" (27%).

Club Invest 77 est la structure seine et marnaise qui assure cet accompagnement. Le président est Gilles Vacher et vous pouvez le contacter au 01 64 63 43 43 / clubinvest77@chez.com

Contact sur Sénart : M. Joseph - agencevs.gerard-joseph@axa.fr

 

lundi, juillet 04, 2005

Et si..... !?

Auteur Didier Galet @ 13:50 

Et si cet évènement organisé par la Mondiale se déroulait sur Sénart le 18 octobre prochain ?